Élaborer le plan de travail et du budget annuel pour l'année 2023 tel est l'objectif des membres du comité de coordination technique du PDAR2 dans la province de la Ngounié. Réunis dans l'une des salles polyvalentes de l'hôtel Lac Bleu de Mouila, les travaux de cette première session ont été ouverts par Alain Roger MAYEKI, secrétaire général de province et représentant de Mme le gouverneur.

Lors de cette session, le Directeur provincial de l'agriculture dans la Ngounié et Chef d'antenne du PDAR2 se sont entretenus sur l'impérieuse nécessité de tirer les leçons dans l'exécution du programme de l'année précédente pour mieux aborder l'année prochaine.

 

Principaux axes abordés

Présentation des objectifs du projet, bilan des principales réalisations du projet courant 2022 et la présentation de la proposition de plan de travail élaboré par l'équipe de projet, tels sont les principaux axes abordés au cours de cette session. Après la validation des différentes décisions qui ont été prises pendant la session,le document de validation sera transmis à la hiérarchie.

 

À propos du PDAR2

Rappelons que le projet de développement agricole et Rural deuxième phase est un projet porté par le gouvernement gabonais avec l'appui du Fonds International de développement agricole (FIDA) dans l'optique de booster l'agriculture et l'élevage au Gabon afin d'arriver à l'autosuffisance alimentaire. Projet promoteur, il s'inscrit dans le cadre du Plan d’accélération de la transformation (PAT) pour le secteur agriculture, et vise, entre autres, à renforcer la résilience des agriculteurs par rapport au contexte de crise sanitaire actuelle liée au Covid-19. Mais aussi, à augmenter la production agricole en contribuant à la sécurité alimentaire. Principalement en milieu rural. Le projet PDAR 2 ambitionne d’atteindre 7 300 ménages, de créer 2 700 emplois et de promouvoir 250 entreprises formelles dans les différents métiers de l’agriculture. La 1ère phase de ce programme a été signée en octobre 2007, entre la République gabonaise et le FIDA. Elle s’est traduite par la signature d’un accord de prêt et de don, respectivement de 5,7 M USD et 274 000 USD, pour une période de 6 ans.

Mais en décembre 2013, le FIDA a approuvé un financement additionnel de 5,4 M USD pour la mise en place d’infrastructures de commercialisation.

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